Liberté de la presse
Liberté, liberté d'expression, liberté de la presse, c'était les maîtres-mots après les attentats des 7, 8 et 9 janvier à Paris.
Politiques offusqués (je choisis sciemment ce mot) et déterminés à faire respecter ces droits fondamentaux en France.
Et pourtant...
Samedi 21 février, manifestation contre les violences policières à Nantes, en rappel des violences du 22 février 2014 (lors d'une grande manifestation contre l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes), et de celles survenues depuis, avec la mort d'un jeune homme en prime.
Les manifestants ne sont pas tous des anges, c'est un fait. La police réplique. Mais s'attaque parfois à ceux qui ne sont là que pour "couvrir" la manifestation : les journalistes.
Lundi 23, le Club de la presse Nantes Atlantique a publié un communiqué, déplorant des faits empêchant les journalistes de faire leur travail, faits violents parfois. L'article : Nantes : Le Club de la presse dénonce les agissements de la police lors de la manifestation
Certes, tout n'est pas blanc ou noir, d'un côté comme de l'autre. Mais il semblerait que la liberté de la presse ne soit pas toujours "un droit inaliénable"...