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Carnets en vrac

7 mars 2015

Avant que l'hiver ne s'en aille...

... Quelques photos prises en février 2012, le 12 précisément. Il avait fait tellement froid que la Loire charriait des blocs de glace dans un fracas impressionnant. L'Erdre (photos), qui traverse Nantes, était quant à elle complètement gelée.
NB : toutes les photos sont des photos couleur...

Glace, 1, 12 février 2012

 

Glace, 2, 12 février 2012

 

Glace, 3, 12 février 2012

 

Glace, 4, 12 février 2012

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5 mars 2015

Bientôt...

Ça sent la fin de l'hiver.
Dans mon monde ça veut dire que les magnolias vont bientôt fleurir.
J'ai hâte d'aller faire un tour dans un parc non loin de chez moi, avec mon appareil photo.
En attendant, quelques photos des années passées :

Magnolia, 27 mars 2013

(27 mars 2013)

 

Magnolia 1, 14 mars 2012

(14 mars 2012)

 

Magnolia 3, 14 mars 2012

(14 mars 2012)

3 mars 2015

Bowie

Pour une fois, j'aimerais bien habiter à Paris.
Dans ma ville, on ne peut pas se plaindre d'un manque culturel, loin de là, mais il faut être une capitale pour recevoir une exposition de grande envergure.
Alors je ne verrai probablement pas cette exposition consacrée à David Bowie, un artiste* que j'ai beaucoup écouté, et je me contenterai de visionner ce diaporama de 20minutes.fr :

David Bowie se dévoile à la Philarmonie

Et tant que j'y suis, trois titres parmi tous ceux que j'aime :

David Bowie - Space Oddity, 1969 (Official Music Video 1972)

 

David Bowie - Rock n Roll Suicide (The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars, 1972)

 

Et pour finir, une reprise de la magnifique "Amsterdam" de Brel, tout aussi magnifique chanté par Bowie :

David Bowie - Port Of Amsterdam (Rare, 1982)


* artiste : en principe je n'utilise pas ce mot pour parler d'un chanteur ou musicien, parce que je le trouve bien trop galvaudé par toutes ces émissions où on cherche la star, "l'artiste" de demain, qui ne durera, bien souvent que le temps de quelques chansons. Et franchement hein...
Par contre, oui, Bowie est un artiste au sens noble du terme.

26 février 2015

Liberté de la presse

Liberté, liberté d'expression, liberté de la presse, c'était les maîtres-mots après les attentats des 7, 8 et 9 janvier à Paris.
Politiques offusqués (je choisis sciemment ce mot) et déterminés à faire respecter ces droits fondamentaux en France.

Et pourtant...
Samedi 21 février, manifestation contre les violences policières à Nantes, en rappel des violences du 22 février 2014 (lors d'une grande manifestation contre l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes), et de celles survenues depuis, avec la mort d'un jeune homme en prime.
Les manifestants ne sont pas tous des anges, c'est un fait. La police réplique. Mais s'attaque parfois à ceux qui ne sont là que pour "couvrir" la manifestation : les journalistes.

Lundi 23, le Club de la presse Nantes Atlantique a publié un communiqué, déplorant des faits empêchant les journalistes de faire leur travail, faits violents parfois. L'article : Nantes : Le Club de la presse dénonce les agissements de la police lors de la manifestation

Certes, tout n'est pas blanc ou noir, d'un côté comme de l'autre. Mais il semblerait que la liberté de la presse ne soit pas toujours "un droit inaliénable"...

24 février 2015

An Turball & Gwen ha Du

Pour ce que j'en sais, je suis un quart bretonne (même trois quart si on considère que la Loire-Atlantique, Loire-Inférieure au temps de la naissance de mes grands-parents et de mes parents, fut bretonne jusqu'en 1941).
Je ne parle pas breton, je n'ai même, bizarrement, jamais été attirée par cette langue, mais je connais quelques mots et expression.
Je dis bizarrement parce qu'en même temps, je trouve cette langue graphiquement très belle : Naoned, c'est tellement plus beau et poétique que Nantes (pour moi, et même si Nantes n'est déjà pas si mal, et surtout tellement familière).

Quand on arrive à Nantes, sur les grands panneaux à l'entrée de la ville, on lit : Nantes / Naoned.
Quand on arrive à Guérande, sur le panneau on trouve aussi le nom breton : Gwenn Ran (Sable blanc). C'est beau, non ?
Et quelques kilomètres plus loin, La Turballe, c'est An Turball.

Mardi dernier, je suis allée à la Turballe. Visite à une jeune personne chère à mon coeur.
La Turballe, c'est une petite ville sur la côte atlantique, avec de belles plages, un grand port de pêche et de plaisance, et des marais salants.
J'y ai habité pendant deux ans.
J'aime ce paysage : vers l'ouest, le sud-ouest, le nord-ouest l'océan, vers l'est les côteaux qui montent vers Guérande, vers le sud-est les marais.
Je n'ai pas eu le temps d'aller sur le marais (c'que c'est beau à cette époque pourtant !), mais je suis allée faire une ballade sur les jetées du port.
Il y avait du vent et un grand soleil dans un ciel magnifiquement bleu.
J'avais emporté avec moi mon petit Lumix, pour sa légèreté.

Quelques photos :

Océan, 17 février, 15h47

L'océan au nord du port. Au loin, à peine dessinée, la côte du Morbihan.

Océan, 17 février, 15h50

Marée montante, toujours au Nord. A marée basse, beaucoup de rochers sur cette plage.

Cormorans, 17 février, 15h56

Plein Ouest. Des cormorans sur une balise signalant l'entrée du port.

Voilier, 17 février, 16h04

Balise et voilier free-style à travers mes lunettes de soleil adaptées à ma vue (d'où la courbure et le flou...)

GwennHaDu, 17 février, 17h43

Le drapeau breton, Gwenn ha Du (Noir et Blanc)

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21 février 2015

La soupe est servie !

Comme vous le savez peut-être si vous avez parcouru mon blog, je nourris et héberge sur mon balcon (dans la jardinière où est née Dune, la terre ayant été remplacée par un tissu laineux) la grande soeur à moitié sauvage de mes deux chats.
Je lui donne à boire, aussi, dans un petit plat creux.
Qui voit parfois son usage détourné.

Car, oui, j'ai un chat, Mo pour ne pas le nommer, qui adore déposer le fruit de ses chasses dans un récipient, si possible contenant de l'eau. Il faisait la même chose avec ses jouets quand il était petit. On ne dit pas que mon chat est bizarre, il n'y a que moi qui ait le droit de le dire ^^.

A l'automne, il déposait délicatement des vers de terre (encore vivants !) dans la coupelle où je lui donne à manger. Bon.
Et puis aussi dans le "bol" d'eau de Mousse la Sauvageonne. En morceau si possible. Chat-Mo.
De temps en temps, le chat varie : une petite musaraigne, ça fait toujours plaisir, non ?

 

Musaraigne, 20 février

Bon appétit !

20 février 2015

Névralgie inter-costale

S'il est une douleur que je redoute parmi toutes celles que je connais, c'est bien celle, sournoise, de la névralgie inter-costale.

Elle arrive sans prévenir.
Un jour elle n'est qu'une sorte de gêne, l'autre une douleur violente qui annihile tout, et même, sournoise qu'elle est, au cours d'une même crise, elle passe de la gêne à la violence sans que je puisse comprendre ce qui provoque ce passage.
Du reste, je ne comprends pas ce qui déclenche ces crises, je sais juste que c'est le pincement d'un nerf entre deux vertèbres dorsales (dans lesquelles j'ai de l'arthrose, dorsales de 5 à 8, problème aussi....) qui provoque la névralgie. Mais pourquoi à tel moment et pas un autre, alors que je ne fais rien d'extraordinaire (aujourd'hui, elle a commencé alors que j'étais tranquillement installée dans mon canapé, comme souvent d'ailleurs), c'est un mystère.
Et c'est ce qui pour moi rend cette douleur redoutable : son imprévisibilité et sa potentielle violence. Pour tout dire, je préfère une bonne vieille cervicalgie, c'est une douleur certes violente, mais franche, que je sais calmer.

L'un de mes kinés (oui le luxe, j'en vois deux !!! En réalité, j'en vois surtout un, mais quand il n'est pas disponible, c'est l'autre, que je préfère mais bon...), celui que je vois le moins souvent donc, m'a conseillé de respirer profondément quand ça arrive, faire gonfler les côtes au maximum pour essayer de libérer le nerf. C'était il y a quinze jours, je venais de subir deux crises violentes deux soirs de suite. Depuis, je n'en avais pas eu d'autre.
Alors, tout à l'heure, en faisant mon ménage parce qu'il fallait le faire et que je n'ai personne pour le faire à ma place (Dune m'accompagne mais ne sait pas faire, dommage ^^), et parce que je ne voulais me laisser envahir par cette fichue douleur, j'ai fait des pauses respiration. Je n'ai pas constaté d'effet particulier. Ou alors c'est un effet à retardement : je suis maintenant de retour dans mon canapé, et la douleur n'est plus qu'une gêne...

La crise ne devrait plus tarder à s'arrêter maintenant : le seul "avantage" de cette douleur, c'est qu'elle n'est pas durable, quelques heures maximum.
Elle est pas belle la vie ? Lol.

Berce, 2009

(Berce, juillet 2009)

15 février 2015

Photo # 2 : l'essence des tilleuls

Hier donc, constatant la magnifique lumière sur les tilleuls du parc, derrière ma chambre, j'ai voulu immortaliser cette beauté.
C'était une lumière de fin d'après-midi, jaune, dans un ciel chargé, qui illuminait les troncs et les branches, donnant à la mousse et aux lichens une intensité particulière.

Surprise en regardant mes photos.
J'ai vite compris pourquoi la belle lumière sur les arbres s'est transformée en quasi-noir et blanc éthéré : par je ne sais quel mystère, le bouton de sélection des programmes s'était déplacé sur manuel. Je n'avais fait aucune vérification avant la prise de vue, ça n'arrive jamais.
(Précision : je ne regarde jamais l'écran quand je prends une photo, toujours avec le viseur.)
Finalement, je suis plutôt contente de ce hasard ^^

(Clic sur les photos pour les voir dans le format où je les ai postées ; ouvrir dans un nouvel onglet, les photos "verticales", de même)

Tilleuls, 14 février, 1

 

Tilleuls, 14 février, 2

 

Tilleuls, 14 février, 3

 

Tilleuls, 14 février, 4

 

Tilleuls, 14 février, 5

 

Tilleuls, 14 février, 6

15 février 2015

Un samedi de chats

Alternance de nuages, de grosses averses (mais grosses) et de soleil aujourd'hui.

Mo, mon Grand (plus jeune que sa soeur de deux mois et demi, pour rappel), est rentré vers 6h00 du matin, et comme d'habitude, n'est pas ressorti avant la nuit tombée. Il s'est contenté de regarder sa soeur batifoler sur le balcon, lui restant sagement dans l'encadrement de la porte-fenêtre.

Dune, elle, comme d'habitude, me suivait partout. Sur le balcon, donc, et sur l'appui de la fenêtre de ma chambre quand j'ai secoué mes tapis.
La lumière était belle sur les tilleuls, je suis allée chercher mon appareil photo.
Pris des photos des tilleuls assez étonnantes (à suivre très bientôt).
Et puis des chats.

D'abord Dune, sur un de ses postes d'observation favoris.

Dune, 14 février



Quelques heures plus tard, revenant dans ma chambre, mes chats, comme souvent, dormaient l'un contre l'autre. Trop mignon.
Le soleil n'entre pas encore dans ma chambre à cette époque (à cause de mon immeuble), mais la lumière était assez forte pour que je tente des photos (assez forte dans mon échelle de luminosité). Bon, j'ai eu de la chance de ne pas bouger, parce que j'ai déclenché à 1/10ème et 1/6ème de seconde pour les deux photos qui suivent.

Mo aime bien dormir contre sa soeur. Ce n'est jamais elle qui a la tête posée sur son frère. Il faut dire que celui-ci est un grand affectueux ^^.

Dune & Mo, 14 février


Et une fois n'est pas coutume, j'ai réussi à faire un portrait de mon chat. Très rare, profitons-en ^^.

Mo, 14 février

13 février 2015

Chouette, la pluie !

Fini le vent froid, énervant, qui siffle dans les aérations des fenêtres, les températures glaciales (enfin, toute proportion gardée), les gelées.

Après une courte transition, hier, où le vent a tourné au sud et les températures se sont adoucies, revoilà la pluie, le vent d'ouest et ses fortes rafales, le ciel gris et bas.
Ça ne me dérange pas en soi. Je suis née dans cette région de l'ouest de la France, le climat océanique est prédominant ici.
Je dirais même que j'aime bien marcher sous la pluie et dans le vent, comme ce matin, où, prévoyante, je n'avais pas pris mon vélo pour sortir, pas envie de lutter contre le vent.
Cela dit, il m'a quand même fallu lutter, avec mon parapluie, qui a quand même réussi à se retourner une fois.

En revanche, il y a une chose que je déteste : c'est me faire arroser par une voiture dont le conducteur s'en fout, lui ou elle est bien à l'abri.
Ma rue, longue, est pleine de trous et de bosses. Et devinez où se trouvent, en majorité, les trous ? Près du trottoir (oui, il n'y en a qu'un). Et devinez ce que deviennent les trous quand il pleut beaucoup ? Facile, des flaques. Suffisamment grandes pour qu'une voiture passant dedans vous éclabousse méchamment.
Et on dirait que ce matin, spécialement, je me trouvais près d'un trou à chaque fois qu'une voiture passait.
J'ai bien essayer d'esquiver, mais peine perdue.

Je ne vais pas conjecturer sur le fait que les conducteurs prennent à malin plaisir à arroser les passants.
Mais je pourrais.

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